Une fois dans ce monde brutal, de petits signes audacieux nous apaisent; on sourit, on rêve, on s‘égare, mais la narration à fleur de terre poursuit malgré tout son déroulment violent et l‘on se dit que ce rythme effréné ne peut que nous mener à un calme imprévisible, ou le fantastique surgit comme l‘unique solution á tant de rigueur froide. Ne sommes-nous pas quotidiennement écartelés entre le stress et le chant, entre la pression délirante de nos activités et l‘évasion hors de ce monde décidément inhumain?
Et c‘est avec une reconaissance énorme qu‘on accueille vers la fin du récit l‘espérance étrange d‘une musique de haut vol. À la folie il faut un baume, et l‘abandon du sol nous jette dans une œuvre puissante qui l‘emporte sur l‘impossibilité de vivre ici et maintenant.
À travers un monde impitoyablement déchiré, Herbst nous propulse vers une mélodie consolatrice, ce chant indispensable que tout grande œuvre a pour tâche de suggérer.“
eine angenehme Überraschung Es freut mich sehr, meinen Text in Ihrem Arbeitsjournal wiederzufinden!
Sehr ergreifend!
Dem Chefredakteur von Rémanences, der leider das Deutsche nicht versteht, werde ich die gute Nachricht übertragen.
Recht vielen Dank!